Auteur
Docteur en Histoire de l’Art, auteur de livres, enseignant et commissaire d’expositions
Benoît NOËL
Docteur en histoire de l’art (1992 – Paris 1 – Panthéon Sorbonne), Benoît NOËL enseigne depuis l’an 2000, la Communication visuelle à l’Académie Charpentier, rue de la Grande-Chaumière (Paris – Montparnasse).
Journaliste pigiste et enseignant au Centre d’Histoire de l’Art (CEHA) de Chatou durant ses études, il fut le conservateur contractuel du Musée Fournaise de Chatou (Yvelines) de 1992 à 1997.
Fondées en 2005 par Véronique Herbaut résidant à Sainte-Marguerite-des-Loges près de Livarot (Calvados), les éditions BVR publient des albums d’art ou relatifs au patrimoine normand, privilégiant des sujets inédits, et à des prix accessibles au plus grand nombre.
Littérature
Les Cahiers du Cotentin
Originaire du sud-Manche mais vivant à Cherbourg depuis plus de 40 ans, je suis venu à l’écriture à l’approche de la retraite professionnelle, d’abord à travers cinq Essais, pour laisser trace de mon activité dans le domaine des sciences sociales et de l’éducation, qui m’ont ouvert le chemin du plaisir d’écrire et de m’autoéditer en me dotant d’un « pseudonyme d’édition » simple label personnel connu comme « Les Cahiers du Cotentin ».
Un premier Roman, « DEROUTE » paru en 2005 a connu un vrai succès, tant auprès du public que de la critique et a obtenu le prix « Ville de Trévières » au Festival du Livre Normand en 2006 ; ont suivi « LE PILIER » puis « LE SECRET D’OMONVILLE », et enfin « CHERBOURG-PARIS, Km 171 » qui marque l’entrée dans le monde du polar.
Ces parutions ont été entrelardées de choses plus légères, trois recueils d’histoires brèves et de contes dont un pour enfants.
Littérature collective
Collectif Auteurs en Cotentin
CET ÉTÉ-LÀ …
1944
Nouvelles, Récits,et autres textes
Comme annoncé, l’ouvrage collectif des AUTEURS EN COTENTIN intitulé « CET ETE-LA...1944 » est sorti des presses et sera disponible en librairie au prix de 10 euros en début de semaine prochaine.
Collectif
AUTEURS EN COTENTIN
Nouvelles
Maud Fauvel
Joseph Fromage
Eric Jardin
Jack Lamache
Michel Lebonnois
Stéphane Martial
Récits et Témoignages
Marcel Launay
Jocelyne Corbel
Jean-Claude Boscher
Danielle Boulaire
Invité
Julien Lebonnois
Deux Poèmes/Chansons
Michel Lebonnois
Image de couverture et Illustrations
Bernard Carbonnel
Depuis la guerre de Cent Ans, le Cotentin, tout comme la Normandie, n’avait jamais plus été champ de bataille du moins sur terre puisque la bataille de La Hougue s’est tenue à nos portes maritimes. Si l’on excepte quelques escarmouches au temps des chouanneries, bêtes et gens avaient pu vivre en paix, loin des conflits incessants aux frontières du royaume et jusqu’à la république.
Et voilà que cet été-là, contre toute attente et à la grande surprise de l’Occupant, les Alliés décidaient de porter ici l’attaque qui s’avérerait décisive pour réduire à néant le rêve de Reich Millénaire né du cerveau fou du Führer.
Les « Auteurs en Cotentin », association d’auteurs ayant un lien de vie ou d’écriture avec le Cotentin, ont imaginé rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont été les acteurs de cette tâche fantastique, soldats étrangers mais aussi résistants sur le sol de France, ces Ombres sans qui rien n’aurait été possible.
Hommage aussi encore aux gens du pays, ces paysans qui ont accueilli les malheureux chassés des bourgs détruits, qui ont caché et guidé les parachutistes égarés dans les marais et dans nos chemins creux.
Ainsi sont nés ces Nouvelles et Récits, de l’imagination ou des souvenirs de leurs auteurs, avec ou sans lien avec la réalité, émouvants ou surréalistes, sans autre ambition que de répondre présents à ce rendez-vous de l’Histoire pour en faire MÉMOIRE.
Nous y avons « invité » des témoignages, bien ancrés dans la réalité de cet été 44. Celui d’un homme qui a aujourd’hui quatre-vingts dix ans et qui se souvient avec précision des journées qu’il a vécues alors qu’il avait vingt ans. Quatre autres qui font Mémoire de ce que fut en Normandie la vie des populations civiles pendant cette période de souffrances et d’espoir.
En ce début de XXIe siècle tenté sinon par la négation tout au moins par l’oubli organisé de notre passé, parfois glorieux, trop souvent douloureux, il est indispensable, au risque de sembler rabâcher, de dire et redire encore ce que cette période a soulevé de haine, de folie, mais aussi et surtout de courage et d’abnégation pour venir à bout de « la bête immonde » aux multiples visages, qui ne rêve que de nous asservir et qui malheureusement n’est pas morte.
Il faut, encore et toujours, rester vigilants. Nous tentons d’y contribuer.
Michel Lebonnois
Président des « Auteurs en Cotentin »
Littérature
Comme promis, des éléments pour une présentation de « Phélippot Le cat », roman de 212 pages. Je lui fais entre autres rencontrer Olivier Basselin, truculent poète Virois des débuts du 15° siècle.
BASSELIN (Olivier), chansonnier normand du XVe siècle, né à Vire, où il possédait un moulin à foulon, de l’exploitation duquel il vivait. Cette usine, dont on voit encore les restes, a conservé le nom de Moulin Basselin ; elle se trouve sous le coteau des Cordeliers, tout près du pont de Vaux.
On ne sait que peu de chose de la vie d’Olivier Basselin, appelé familièrement le Bonhomme, comme La Fontaine. Adonné aux plaisirs de la table, au vin et au cidre, il employait ses loisirs à rimer des chansons naïves qui, à cause du pays, reçurent le nom de vau-de-Vire (d’où l’on fait dériver celui de vaudeville mais les avis sont partagés sur cette question).
Basselin n’était point illettré, comme quelques biographes l’ont prétendu ; il savait le latin, avait voyagé et avait été soldat. Deux vers de Jean Le Houx nous apprennent que Basselin eut beaucoup à souffrir de la guerre de 1450, qui eut lieu entre les Anglais et Charles VII. Sa fabrique fut ruinée lors du siège de Vire, et, plus tard, sa famille le voyant trop adonné au cidre et à la bonne chère, le fit interdire. Il s’ensuivit un procès, rappelé par ces deux vers du XXVIIe vau-de-Vire :
Bon sildre oste le soussy
D’ung procez qui me tempeste.
Le pauvre foulon se lamentait d’une façon aussi ingénue que touchante (38e vau-de-Vire) :
Hélas ! que fait ung povre yvrongne ?
Il se couche et n’occit personne
Ou bien il dict propos joyeulx.
Il ne songe point en uzure,
Et ne faict à personne injure,
Beuveur d’eau peut-il faire mieulx ?
Vau-de-Vire, I. Ms Polinière, édition Gasté.
Si souvent en nos repas,
À la façon ancienne
De nos pères gros et gras,
Nous chantons, chascun la sienne,
C’est pour chasser le soucy
Qui nous peut donner ennuy
.
Vau-de-Vire, IV. Édition de 1833
J’ay recours au bon vin comme à ma médecine.
Faulte de mieux, de bon pommé
Bien soubvent je prens une doze.
Vau-de-Vire XXVIII. Édition de 1833.
… du sildre il fault boire…
N’ayant guère d’argent.
LA FAUTE D’ADAM.
Adam (c’est chose trop notoire)
Ne nous eust mis en tel danger,
Si, au lieu du fatal manger,
Il se fust plus tost pris à boire.
C’est la cause pour quoy j’évite
D’estre sur le manger gourmand.
Il est vray que je suis friand
De vin, quand c’est vin qui mérite.
Et partant, lorsque je m’approche
Du lieu où repaistre je veux,
Je vais, regardant curieux,
Plus tost au buffet qu’à la broche.
L’œil regarde où le cœur aspire,
J’ay cuy par trop œilladé.
Verre plein, s’il n’est tost vuidé,
Ce n’est pas un verre de Vire.
Une autre pièce, plus souvent citée, est celle qui a pour titre : A mon nez. En voici les deux premières strophes :
Beau nez, dont les rubis ont cousté mainte pipe
De vin blanc et clairet,
Et duquel la couleur richement participe
Du rouge et violet.
Gros nez ! qui te regarde à travers un grand verre
Te juge encor plus beau :
Tu ne ressembles point au nez de quelque hère
Qui ne boit que de l’eau.
Vire était assiégée, et cette circonstance inspira au chansonnier les trois couplets suivants :
Tout à l’entour de nos remparts,
Nos ennemis sont en furie :
Sauvez nos tonneaux, je vous prie !
Prenez plus tost de nous, soudards,
Tout ce dont vous aurez envie :
Sauvez nos tonneaux, je vous prie.
Nous pourrons après en beuvant,
Chasser notre mélancolie :
Sauvez nos tonneaux, je vous prie !
L’ennemi qui est ci-devant,
Ne nous veut faire courtoisie.
Vuidons nos tonneaux, je vous prie.
Au moins, s’il prend notre cité,
Qu’il n’y trouve plus que la lie :
Vuidons nos tonneaux, je vous prie !
Deussions-nous marcher de costé,
Ce bon sildre n’espargnons mie :
Vuidons nos tonneaux, je vous prie !
Ecrivain
Votre vie, votre histoire
Nul besoin d’être une célébrité pour mériter une biographie, chacun d’entre nous a un parcours de vie unique construit au gré des circonstances, des rencontres, des choix personnels ou professionnels. Votre vie, votre histoire, ce sont bien sûr des moments forts souvent liés à des personnes, des lieux, des époques. Ce sont aussi une multitude d’anecdotes tristes ou joyeuses qui parfois reviennent en mémoire aux détours de conversations.
Transmettre votre histoire de vie à vos proches, enfants, petits-enfants présents ou à venir est le plus beau cadeau que vous puissiez faire, parce que ce cadeau sera à votre image : unique et irremplaçable.
Écrire votre biographie est un beau projet. Il se concrétisera par un vrai livre qui sera la mémoire écrite de votre vie.
Après des études scientifiques (maîtrise de Biochimie), j’ai été formateur en mathématiques en formation continue pour adultes dix années durant (Greta de Cherbourg).
Professeur des écoles depuis 1997, spécialisé, j’ai enseigné neuf ans à la Maison d’arrêt de Cherbourg et je travaille maintenant depuis sept ans en collège auprès d’élèves en difficulté.
C’est certainement mon expérience de travail en prison qui m’a révélé mon intérêt pour l’écriture, par le fait d’y animer un atelier d’écriture et d’y tenir régulièrement le rôle d’écrivain public. Cette expérience particulière et riche de contacts humains m’a conduit à l’écriture d’un livre-témoignage édité chez L’Harmattan sous le titre « Et là vivent des hommes ».
Par ailleurs, je prends beaucoup de plaisir à l’écriture de nouvelles et j’ai contribué en tant que co-auteur à « Nouvelles Lunes », livre jeunesse édité chez SaperliVpopette. Un deuxième recueil de nouvelles, « Nouvelles Vagues », doit prochainement voir le jour. Affaire à suivre...
Ecrivain
EDITIONS VERBATIM
Pierre Dumoncel est né à Cherbourg, le 17 mai 1951. Mais ce n’est qu’en 2005, date à laquelle il met fin à son activité professionnelle, qu’il s’empare de la plume pour assouvir sa véritable passion.
En 2010, il accède à un avènement dont il n’avait même jamais osé rêver : la publication de son premier roman, Tranche de vie !
Avant d’en arriver là, il connut le parcours atypique d’un autodidacte curieux, qui vécut huit ans à l’étranger (1977 à 1985), comme responsable du contrôle des coûts, puis du contrôle de gestion, sur différents chantiers à l’export, avant de s’établir à son compte dans le Luberon, en créant un complexe hôtelier de loisirs (1985 à 1990).
Reprenant son ancien métier, en 1991, il rejoignit son Cotentin natal qu’il ne devait plus quitter (mis à part d’innombrables voyages d’agrément), même s’il s’éloigna quelque peu pendant quatre années (1997 à 2001) pour vivre la passionnante aventure du métro de Rouen, comme responsable administratif et financier de la Communauté d’Agglomérations.
Pierre Dumoncel est marié ; il a épousé une ravissante autochtone lors de son séjour en Indonésie, avec laquelle il a eu une fille, née durant son expatriation suivante, en Jordanie.
Engagé dans différentes associations, caritatives et socio-politiques, il vit aujourd’hui avec sa famille et ses souvenirs dans la solitude du bocage bas-normand, à quelques kilomètres de Cherbourg.
****
Avant de créer lui-même les Editions Verbatim, Pierre Dumoncel a été publié chez Aparis en 2010, Artim Editions en 2011, et Mots’Arts Editions en 2012.
APOSTASIE (Pierre Dumoncel)
Editions Verbatim – Septembre 2013
334 pages en noir et blanc
Format 13,5 x 20,5 cm
Prix : 17.50 euros
(+ 2 € de participation aux frais de port)
Gaby a changé d’horizons !
Le Cotentin a remplacé le Luberon, à l’inverse de son cœur, dont l’ancrage semble s’affirmer… En revanche, il a gardé cet humour acerbe qui lui permet de décortiquer l’actualité du jour, et d’assumer les difficultés bien particulières de sa nouvelle vie de couple…
Apostasie raconte les cinq années qui ont suivi Tranche de vie.
Même ton, mêmes indignations, mêmes éclats de rire. L’auteur s’en donne à cœur joie pour nous faire traverser les années de crise d’une époque un peu folle.
APOSTASIE
SENS DESSUS DESSOUS (Pierre Dumoncel)
Mots’Arts Editions – Avril 2012
258 pages en noir et blanc
Format 13,5 x 20,5 cm
Prix : 15 €
(+ 2 € de participation aux frais de port)
Sens dessus dessous est un roman d’Amour. Un Amour qui excède les limites du couple et la satisfaction des sens.
A mille lieues des mœurs actuelles, l’auteur s’interroge sur la possibilité d’un Amour absolu dont la séduction est l’arme indispensable, mais non fatale.
Alors, le désir s’oppose au plaisir et l’infidélité prend les contours inattendus d’une situation assez irréelle.
Mais s’agit-il d’un conte ?
Un clin d’œil, en tout cas, au célèbre banquet de Platon.
SENS DESSUS DESSOUS
LA MARCHE DU SIECLE (Pierre Dumoncel)
Artim Editions – Février 2011
219 pages en noir et blanc
Format 12 x 20,9 cm
Prix : 14,90 €
A mi-chemin entre le roman et l’essai, c’est l’histoire vraie du néo-libéralisme, dans laquelle l’auteur décode la crise que nous connaissons depuis plusieurs années pour tenter d’en saisir les ressorts auxquels la fatalité ne doit rien.
Histoire étonnante et romanesque, avec des personnages et des anecdotes, qui permet à tous ceux qui n’ont aucune notion d’économie politique de comprendre pourquoi on en est arrivés là.
LA MARCHE DU SIECLE
TRANCHE DE VIE (Pierre Dumoncel)
Editions Aparis (Edilivre) – Février 2010
Réédité chez Artim Editions en 2011
308 pages en noir et blanc
Format 14,5 x 21 cm
Prix : 16,90 €
(+ 2 € de participation aux frais de port)
C’est l’histoire d’un jeune homme dont l’égoïsme et l’insouciance n’ont pas encore ouvert les idées de gauche aux réalités d’un monde qu’il découvre au lendemain du 11 septembre 2001.
C’est l’histoire des sept années de sa vie qui lui ont fait prendre conscience de l’absurdité du discours et de l’action politique, pour lesquels il apportera la réponse de l’engagement personnel. Mais c’est aussi une grande histoire d’amour bâtie autour d’un terrible secret, dans laquelle la mère du héros et ses amis tiennent une place prépondérante.
C’est une tranche de vie au terme de laquelle on est en droit de se demander si l’amour peut être plus fort que tout, et quelle légitimité peut espérer une société dont les inégalités sont le mode de fonctionnement délibéré.
TRANCHE DE VIE
Hervé Constantin
Nouvelle Histoire contemporaine très proche de la réalité du terrain afghan
Hervé Constantin, dévoile : « Voici donc « Une autre vie », mon septième ouvrage, qui vient de paraitre aux Presses du midi et vous propose une nouvelle histoire contemporaine très proche de la réalité du terrain afghan. »
La préface du livre est signée du Colonel Thomas TOUSSAINT, Chef de Corps du Groupement Interarmées Actions Civilo-Militaires de Lyon : » Le conflit décrit par le lieutenant de vaisseau Constantin est un des plus âpres auxquels l’armée française a été confrontée ces cinquante dernières années. Les conditions sont bien dépeintes dans son ouvrage. Vous comprendrez, à la lecture, qu’un tel contexte n’empêche pas les sentiments de s’exprimer. Vous comprendrez sans doute aussi que l’auteur est à classer parmi les militaires humanistes, ceux pour qui la mission est sacrée mais ceux qui gardent en permanence à l’esprit le respect de certaines valeurs se comportent et agissent en fonction d’elles quelles que soient les circonstances, mêmes les plus difficiles. »
Livre « Une autre vie » par Hervé Constantin, militaire au quartier général Frère de Lyon
Une jeune fille afghane et un jeune soldat français, Naïma et Bastien, croisent leur regard sur ce qu’ils vivent au quotidien au fond d’une vallée afghane déchirée par la guerre.
Les évènements tragiques auxquels ils assistent ou participent, marqueront leur vie à jamais.
Les insurgés ne leur laissent guère de répit et sont omniprésents au sein de ce modeste roman qui s’inspire de la réalité de terrain.
L’action de ce roman se déroule entre mars et juillet 2011 quelque part en Afghanistan. Sa toile de fond se veut aussi réaliste que possible. Les évènements tels qu’ils sont décrits et les personnages, eux, sont en revanche (sauf quelques-uns et avec leur accord) sortis tout droit de l’imagination de l’auteur. Aucun lien véritable n’est fait ni à faire avec des faits précis ayant pu subvenir sur le théâtre d’opération afghan.
Ce roman n’est ni un documentaire, ni un témoignage quand bien même certains chapitres s’inspirent de la réalité de terrain. Il ne répond à aucune question. Il en pose parfois… A chacun de trouver sa réponse.
Il s’agit simplement d’une aventure humaine entre des hommes et des femmes que souvent tout sépare mais que la vie a rapprochés pour le meilleur… et surtout pour le pire.
Jean-Paul Bonami
« Ombres et Lumières » Deux Siècles d’ Histoire
Ecrit sur la base d’archives inédites léguées à l’auteur par le dernier administrateur, le récit débutant à l’aube du XIX° siècle raconte les nombreuses tentatives faites par la Ville pour s’offrir un théâtre digne de ce nom .
Enfin en 1882 est inauguré le magnifique bâtiment construit sur les plans de Charles De Lalande, élève de Garnier, l’architecte de l’Opéra de Paris.
Ce théâtre à l’italienne est sans doute l’un des plus beaux de France .
Depuis son ouverture, il a vu défiler un grand nombre d’artistes - et non des moindres - vedettes de l’art lyrique et de la chanson, musiciens, comédiens et danseurs, pour le bonheur de plusieurs générations de spectateurs.
Véritable fresque historique, comme l’écrit le grand baryton Alain Fondary dans sa préface, cet ouvrage d’une extrême précision, sérieusement documenté et richement illustré se veut le reflet d’une vie culturelle intense déroulée au fil des décennies...
Livre présenté sur FRANCE-MUSIQUE ( Emission « Etonnez-moi, Benoît ») de Benoît Duteurtre, le samedi 29 octobre 2011 de 11h15 à 12h15.
OUVRAGE GRAND FORMAT : 270 x 200 - papier luxe
220 pages + de 250 photos N/B – Couleurs
(Partenariat : France Bleu/Cotentin : La Presse de la Manche)
ISBN : 978-2-9539697 - Auto-édition
Préface d’ Alain Fondary, de l’Opéra
Prix public : 29 euros
Disponible en librairie et « maisons de la Presse » Nord-Cotentin
ou envoi postal : c/ chèque 32 euros ( port compris )
Nouveau policier
La suite intitulée « Le rouge et LENOIR »
Réservez dès maintenant mon nouveau policier (format 11x18, 348 pages), à sortir sous quelques semaines. Il s’agit d’un double volume qui contient en première partie « CRIME ET BATIMENT » et en deuxième partie la suite intitulée « Le rouge et LENOIR ».
Quelques uns parmi vous auront peut-être eu la chance de se procurer il y a quelques mois la première édition de « CRIME ET BATIMENT » qui a disparu à peine lancée avec son éditeur.
Il s’en est vendu très peu, C’est donc devenu un « collector »....
Le prix de vente sera de 13 euros, mais vous pouvez me le commander en souscription pour 10 euros, à m’envoyer par chèque (encaissé après expédition)
à Michel Lebonnois-Les Cahiers du Cotentin
65 Rue Saint Sauveur
50130 CHERBOURG-OCTEVILLE
Expédition franco de port dès réception de chez l’imprimeur.
_Je ne promets rien pour Noël...
A bientôt
Poésie
Explication
Stephane MARTIAL, poète
Vit à La Haye du Puits
-A publié quatre recueils de poésies :
« FACE A LA PORTE ETROITE » (Prix Louis Bouilhet 2005)
« RIME ET PROSE EN POESIE » (Prix Pierre Corneille 2006)
« ECRIT D’OMBRE » 2007
« EN AMONT DU TUMULTE » 2008
La poésie de cet auteur peut se définir comme une recherche permanente sur la possibilité qu’ont les mots cette enveloppe sonore ainsi que leur association inédite « les images poétiques » d’évoquer un ailleurs musical et sonore.
Stephane MARTIAL pour la « Rencontre autour d’un Verre » du 18 avril 2008
La poésie ce n’est ni de la musique, ni de la peinture, mais un langage qui empreinte à ses deux arts tout en s’en distinguant par sa forme : l’écriture.
La poésie c’est un dépaysement , reflet bigarré d’une époque avec ses couleurs et ses formes dans le kaléidoscope de chaque auteur :
Dépaysement sonore avec la rime, l’assonance, l’allitération...ses rythmes et ses harmonies.
Rythmes ; retour du semblable.
Harmonies ; mélange des sons, des couleurs et des sens. Apparence statique d’une harmonie (peinture, sculpture, architecture) ; apparence dynamique d’une harmonie ( danse, musique et poésie).
Puisant aux sources du langage, elle est murmure, chant, incantation
Elle évoque par le choix de ses sujets des moments familiers tirés du quotidien.
Elle invoque une puissance créatrice, jamais définitive, toujours mouvante.
Dépaysement visuel par le recours à l’image poétique.
Définition : conjonction de mots aux sens différents mais qui associés trouvent une résonance dans un autre registre que celui qui leur était destiné séparément
Pour Roger Caillois, l’image fertile se tient à égale distance entre la banalité qui la rend inutile et la gratuité qui la prive d’efficience.
Exemples : « Les essaims de silence aux ruches de lumières » St John Perse.
« un vaste grenier sonore comme une cale d’un navire » Giono
« les nuages nageaient comme des poissons avec de l’ombre sur le ventre ».
Les poèmes du poème:IV (Extrait d’"Ecrit d’ombre")
– Pourquoi et pour qui écrit-on ?
On écrit pour se faire comprendre d’un Autre mais aussi pour comprendre l’Autre en soi, car écrire c’est une façon de s’approprier ce qui est éphémère, d’échapper au débordement du présent, d’arrêter ce qui s’enfuit.
On n’écrit pas pour plaire mais pour sacraliser un instant privilégié, s’observer à la lumière d’une subjectivité tournée vers la reconnaissance de l’Autre.
Etant entendu que cette chose évolue sans cesse : pas plus qu’on ne se baigne deux fois dans le même fleuve, on n’écrit pas deux fois le même poème...
Car écrire de la poésie, c’est retrouver l’unicité de la Nature sous la variété de ses formes.
– Qu’est-ce qu’écrire ?
Ecrire en général, Jack London : la Parabole du vieil indien.
Braque : « je ne crois pas aux choses mais aux relations entre les choses ».
En matière de langage tout est socialisé, le langage n’appartient à personne.
Un des caractères spécifiques de la poésie c’est qu’elle est acte de création.
C’est en quelque sorte se souvenir de ce qui n’existe pas encore mais qui se joue depuis toujours entre une soif de devenir et une conscience de sa finitude.
La magie de la poésie à mon sens, c’est de créer des images qui me regardent et qui réfléchissent cet Autre que chacun porte en soi.
Pour R.Caillois, la poésie est un équilibre entre une exigence de soi et un génie involontaire.
Dans la nature comme dans le langage les formes sont régies par deux états : symétrie et dissymétrie.
Le langage repose sur deux principes : la relation des signes entre eux et la relation des signes aux choses. C’est suivant ces deux principes que s’inscrivent le recours à la métonymie et à la métaphore qui sont les deux principales figures de rhétorique. Elles ont donné tantôt l’école réaliste ( Tolstoï), le cubisme, tantôt les romantiques, symboliques et surréalistes.
Les signes du langage tiennent à la fois des signes auditifs, dont le temps est le système structurant (simultanéité et succession) et aux signes visuels, dont le signifiant peut être abstrait du temps mais fait intervenir la reconnaissance spatiale.
Roman Jacobson, utilise une image pour définir la poésie :
En Afrique, un missionnaire blâmait ses ouaïlles de ne pas porter de vêtements.
Ils répliquèrent que lui allait la figure découverte. C’est ma figure dit-il.
Hé bien, chez nous c’est partout notre visage.
En poésie, tout élément linguistique s’y trouve converti en figure du langage poétique.
R.Caillois : La poétique serait l’ensemble des signes, au-delà des mots, des phrases, des objets, des choses, des émotions et de situations.
Donnant à chacun l’espace d’une seconde la perception d’une énigme dont il présume qu’il est le seul à en détenir la clef.
Selon Antonin Artaud, pour que le langage retrouve ses possibilités d’ébranlement physique, il doit être mis en scène.
Il faut déterminer une métaphysique du langage pour retrouver les sortilèges de l’incantation.
Tout vrai sentiment est intraduisible. L’exprimer c’est le trahir,
Le traduire c’est le dissimuler.
Car l’expression cache ce qu’elle manifeste.
L’image ( la figure qui masque ce qu’elle voudrait révéler) est plus significative pour l’esprit que les clartés apportées par l’analyse de la parole.
La vraie beauté ne frappe jamais directement. Le soleil couchant est beau par ce qu’il nous fait perdre...
Sous la poésie du texte, il y a la poésie tout court : le théâtre qui est renouvellement.
L’attitude de guérison invite à la guérison.
L’attitude de crime invite au crime.
Or au théâtre, le geste est désintéressé ; il enseigne donc à l’inutilité du geste, l’utilité de cette inutilité est la sublimation ou catharsis (purification et libération des tension).
Artaud a donné à ce théâtre le nom de cruauté.
Michel Lebonnois
Michel Lebonnois a d’abord écrit des Essais, en lien avec son travail d’éducateur en responsabilité d’enfants et de leurs familles.
Il développe dans quatre ouvrages les convictions et les techniques qui ont guidé son action, aussi bien directement auprès des parents et des enfants qu’un juge confiait à l’établisement qu’il dirigeait qu’à travers l’animation d’une équipe de trente personnes dont la compétence s’appuyait sur le respect inconditionnel des personnes en grande difficulté qu’il leur fallait aider, et sur la maîtrise constamment évaluée et entretenue des outils techniques et cliniques indispensables.
MAIS VIVRE SANS TENDRESSE qui traite de la relation adulte-enfant
LE REGARD DE LEONARD où il présente et explique sa pratique de direction fondée sur « L’Institutionnel »
SEME, SEMEUR, récits de vies d’enfants à partir de l’a priori philosophique que l’enfant n’appartient à personne d’autre qu’à lui-même, et récolte pour lui-même ce que les adultes autour de lui auront semé
ET THESEE DEVINT ROI, qui présente à partir de situations-type le travil avec les familles et l’accompagnement de leur sortie du « labyrinthe » de leur histoire où ils étaient égarés
Un cinquième, JE REVE ENCORE, est venu s’ajouter, ultime témoignage « d’engagement » après une première année de retraite appréciée.
Roman
Hervé Constantin
Hervé Constantin est un officier de la Marine au profil à la fois bien classique et bien original :
– Classique car il a, comme nombre de marins d’aujourd’hui, bourlingué sur de multiples océans en tant qu’ officier marinier infirmier avant de servir, comme officier, dans les écoles du Service de Santé et de la Marine ;
– Et original, car le livre qu’il vient d’achever est son cinquième ouvrage, dont trois romans historico-maritimes, et qu’il n’est pas banal de voir un officier d’active aussi prolifique....
Préface | Avertissement | 4e de couverture
Hervé Constantin est un officier de la Marine au profil à la fois bien classique et bien original : classique car il a, comme nombre de marins d’aujourd’hui, bourlingué sur de multiples océans en tant qu’ officier marinier infirmier avant de servir, comme officier, dans les écoles du Service de Santé et de la Marine ; et original, car le livre qu’il vient d’achever est son cinquième ouvrage, dont trois romans historico-maritimes, et qu’il n’est pas banal de voir un officier d’active aussi prolifique.
Lorsqu’il m’a parlé de son projet de redonner vie aux personnages de « L’automne bleu » et de « La poudre noire », dans le paysage maritime de la Seconde Guerre mondiale, je n’ai pu m’empêcher de lui dire « attention, casse-cou ! », tant les épisodes tragiques de cette histoire récente sont encore sensibles et passionnels.
La défaite de 1940, l’exode, le régime de Vichy, la tragédie de Mers el-Kébir, le sabordage de la flotte, les authentiques résistants et ceux de la dernière heure, la libération et l’épuration, voilà tous des sujets qui peuvent encore aujourd’hui déchaîner de redoutables passions et que l’on évite soigneusement d’aborder dans les carrés des bâtiments pour y préserver sérénité et bonne ambiance.
Après avoir achevé la lecture des « Saisons de feu », j’ai pu dire « chapeau l’artiste » qui a su naviguer entre les écueils !
Le pari est relevé de raconter ces épisodes tragiques avec fidélité, sans chercher à prendre un quelconque parti et en autorisant par son approche romanesque, une vision apaisée des heures douloureuses mais aussi glorieuses vécues par la Marine durant le second conflit mondial.
Commissaire en chef de 1re Classe Etienne Devailly
Commandant l’école des fourriers de Querqueville
– Avec « Les saisons de feu » se termine une trilogie de l’histoire toulonnaise commencée à l’été 1865.
« L’automne bleu » présentait la ville du Second Empire mise à mal par l’une des épidémies de choléra qui ont endeuillé le XIXe siècle.
« La poudre noire » restituait l’ambiance du Toulon du début du XXe aux prises avec les dramatiques explosions des poudres militaires et l’opacité des fumées d’opium.
Ce nouvel opus met en scène les grands évènements du deuxième conflit mondial et, plus particulièrement, ceux qui ont touché les ports militaires de Toulon et de Cherbourg dans leur chair et dans leur âme.
Il s’agit là d’une période troublée et même trouble, de quelques années difficiles dont les cicatrices se referment à peine.
– De Mers el-Kébir au sabordage de la flotte, il n’y a qu’un pas que l’on doit se garder de franchir allègrement sans explication.
L’Armistice, la collaboration puis la Résistance, les bombardements alliés et la Libération constituent la trame de ce roman. Les personnages qui prennent vie dans ce récit ont pour but de servir la cause d’une vulgarisation historique et d’apporter ainsi un éclairage, non pas nouveau (de grands auteurs ont écrit sur le sujet avec brio et la vérité factuelle semble avoir été clairement mise à jour) mais peut-être différent.
Il parait facile maintenant de dire : « J’aurais fait ceci, j’aurais fait cela. » Le temps écoulé a révélé les erreurs commises et surtout leurs conséquences. Mais lorsque l’on vit un évènement, on ne dispose pas de ce « recul du temps » et les décisions prises, qui pouvaient sembler justes ou, pour le moins, un pis aller, l’ont été grâce aux informations ou surtout aux désinformations du moment.
La lecture du livre de Yves Rochas « Vérités interdites, Mers el-Kébir 1940 » m’a fait toucher du doigt toute la précarité de la confiance qu’un auteur peut accorder aux diverses sources auxquelles il peut avoir accès. Le livre même de Rochas peut être sujet à discussion de par ses prises de positions parfois arbitraires.
Les diverses sources qui m’ont permis l’écriture des « Saisons de feu » ont été nombreuses et hétéroclites, parfois surprenantes aussi. Toutes m’ont apporté leurs « grains à moudre ». La construction de cet ouvrage, qui reste un roman et ne cherche pas à porter de jugement, ni sur l’histoire, ni sur la façon dont elle a été traitée par les historiens, se veut la plus impartiale possible. Il n’y a aucune polémique à porter sur des faits avérés qui, durant cette douloureuse période, n’ont épargné personne.
La France a été partagée, sur les plans aussi bien physique que moral et de bien des façons différentes.
– Les faits décrits sont réels, authentiques. La connaissance de leurs causes profondes et les interprétations de l’histoire, officielle ou non, n’ont pas fini d’évoluer. Raconter l’Histoire sans la trahir tout en gardant ses convictions personnelles n’est pas chose aisée. Les personnages d’un roman peuvent y aider.
Le récit qui va prendre corps sous vos yeux est une histoire humaine ; les personnages principaux n’ont pas réellement existé mais leurs pensées, leurs actions, leurs bonheurs et leurs souffrances sont celles de tous les humains soumis à des choix difficiles, en pleine confusion, entre intérêts personnels et intérêts généraux. Rien n’est jamais simple, ni tout à fait blanc, ni tout à fait noir, et souhaitons, à l’instar d’une très belle chanson de Jean-Jacques Goldman, de ne jamais avoir à accomplir de tels choix.
Remontons donc le temps et retrouvons les acteurs et les héros, parfois bien malgré eux, de cette sombre période de la deuxième guerre mondiale.
Hervé Constantin
Hervé CONSTANTIN
– Avec "Les saisons de feu", dernier opus de la trilogie retraçant l’histoire de la famille Coste et de ses proches, l’auteur nous fait revivre les années tragiques du deuxième conflit mondial.
De Mers el Kébir au sabordage de la flotte, de "Torch" à "Overlord" puis à "Dragoon", de l’Armistice à la Libération, de l’invasion au débarquement en Normandie et en Provence et enfin de Toulon à Cherbourg, le lecteur parcourt le temps et l’espace de cette époque difficile.
– Avec sincérité, courage et abnégation, Natacha, Paul, Victor, Rosalie et les autres personnages de ce roman traversent, en cherchant à les comprendre, les évènements dramatiques qui ont déchiré la France, l’Europe et le Monde.
Chacun fera les choix vers lesquels le pousse sa conscience. Certains seront douloureux. Mais personne ne pouvait les assumer à leur place et bien malin celui qui, aujourd’hui, du fond de son canapé, assis tranquillement devant sa télévision, un verre à la main, pourrait dire ce qu’il aurait fait alors.
– Un grand moment d’histoire qui aide à la remontée des souvenirs des anciens et propose aux plus jeunes une vision globale et impartiale de ce que fut la vie de leurs parents,
grands-parents et arrière-grands-parents durant les années de tourmente de
la deuxième guerre mondiale.
– Cherbourg ainsi que le site de l’école des fourriers (ex-base navale), le fort de Querqueville, la frégate de la France Libre « Windrush », appelée aussi « La Découverte » et plus connue sous le nom de « Lucifer » sont partie prenante de ce roman.
En effet, quelques-uns des personnages (fictifs), la branche Pelabon de la famille Coste, vivent à Cherbourg et dans ses environs et ont permis à l’auteur de faire un tour d’horizon de l’histoire locale durant le Deuxième Conflit mondial.
Littérature
Philosophie du romancier & Bibiographie
Hervé CONSTANTIN
– Né le 27 juillet 1962 à Ollioules (Var)
– D’origine, entre autre, toulonnaise (14 générations trouvées)
Marié 3 enfants
A commencé à 19 ans dans la Marine en tant que matelot infirmier.
Officier spécialisé de la Marine, il a dirigé, jusqu’en juillet 2006, la 1re année du diplôme d’état d’infirmier (Ecole du Personnel Paramédical des Armées à Toulon). Il est, à ce jour, Directeur des Cours Adjoint à l’Ecole des Fourriers de Querqueville (50).
Passionné par la généalogie, il est passé par la petite puis la grande histoire pour finir par raconter des histoires.
1er livre | 2e livre | 3e livre | 4e livre | 5e livre | 6e livre
1er livre « Toulon, entre peste et choléra » est un ouvrage de recherche historique sur la ville et les épidémies qui s’y sont succédées (3 ans de travail)
2e livre « L’automne bleu » est un roman historique qui se passe en 1865, dans un Toulon en pleine transformation (agrandissement à la suite du passage de Napoléon III en 1852, une trentaine d’années de chantiers). Le docteur Barnouin, officier de santé, affronte une des épidémies de choléra. C’est aussi le début de l’hygiène d’où une relation étroite entre histoire de la ville et histoire de la médecine. Ce roman est de plus une belle histoire d’amour entre deux êtres qui n’auraient, en temps normal, pas dû se rencontrer.
3e livre « L’instrumentiste » est un roman contemporain mettant en scène des personnels para médicaux et médicaux à l’intérieur d’un bloc opératoire et d’un service de psychiatrie. Une mission humanitaire au Mexique permet d’introduire la notion de médecine de catastrophe. Sylvie et Matthias vivent une belle histoire d’amour au sein d’un contexte parfois difficile. C’est aussi pour l’auteur l’occasion de jeter un regard original, constructif mais sans concession sur le monde médical actuel.
Un 4e livre est sorti début novembre 2006. La poudre noire est l’histoire de Toulon et de la Marine (par l’entremise du héro, Etienne, officier canonnier) entre 1899 et 1914. Le fil conducteur en est les trois explosions, dues justement à la confrontation de la poudre noire et de la poudre B, qui ont eu lieu à l’arsenal : Lagoubran, 1899 ; Iéna, 1907 et Liberté, 1911. La période qui a été appelée plus tard « belle époque » est riche en évènements locaux, nationaux et internationaux et nous amène inexorablement vers le début de la 1re guerre mondiale.
La poudre noire est la suite de L’automne bleu.
Un troisième opus (5e ouvrage de l’auteur) sortira début février 2008. Il transportera le lecteur vers les difficiles années 1939/1945.
– Avec "Les saisons de feu", dernier opus de la trilogie retraçant l’histoire de la famille Coste et de ses proches, l’auteur nous fait revivre les années tragiques du deuxième conflit mondial.
De Mers el Kébir au sabordage de la flotte, de « Torch » à « Overlord » puis à « Dragoon », de l’Armistice à la Libération, de l’invasion au débarquement en Normandie et en Provence et enfin de Toulon à Cherbourg, le lecteur parcourt le temps et l’espace de cette époque difficile.
Avec sincérité, courage et abnégation, Natacha, Paul, Victor, Rosalie et les autres personnages de ce roman traversent, en cherchant à les comprendre, les évènements dramatiques qui ont déchiré la France, l’Europe et le Monde. Chacun fera les choix vers lesquels le pousse sa conscience. Certains seront douloureux. Mais personne ne pouvait les assumer à leur place et bien malin celui qui, aujourd’hui, du fond de son canapé, assis tranquillement devant sa télévision, un verre à la main, pourrait dire ce qu’il aurait fait alors.
Voyages en eaux troubles (6e ouvrage de l’auteur)
–
Celle d’un marin vagabond. Ses héros, Matthias et Sylvie, sont en outre confrontés à leurs propres difficultés de vie commune qui les fait passer du plus grand découragement au plus fol espoir.
– Du tsunami de décembre 2004 au cyclone « Nargis » qui a durement frappé la Birmanie en 2008, en passant par le golfe de Guinée, « Voyages en eaux troubles » est une fiction qui donne à réfléchir sur des problèmes et des situations bien réels pouvant toucher le plus grand nombre.
– Un voyage, initiatique, autour du monde et au plus profond de soi qui remet chacun et chaque chose à son humble place.
– A sa lecture, vous vivrez un grand moment d’histoire qui aide à la remontée des souvenirs des anciens et propose aux plus jeunes une vision globale et impartiale de ce que fut la vie de leurs parents, grands-parents et arrière-grands-parents durant les années de tourmente de la deuxième guerre mondiale.
Littérature, Auteur
Témoignage d’un enseignant en maison d’arrêt.
« Et là vivent des hommes » est mon témoignage de neuf années d’enseignement en milieu carcéral.
Un poste atypique de professeur des écoles, c’est vrai, mais –peu de gens le savent- un poste comme il en existe dans toutes les prisons françaises.
L’enseignement en milieu carcéral a été rendu possible grâce à un partenariat entre les deux administrations : administration pénitentiaire et Education nationale. L’objectif premier est la lutte contre l’illettrisme, très marqué dans nos prisons.
Pessimisme et espoir se croisent dans ce témoignage d’un enseignant en milieu carcéral, qui pointe du doigt les insuffisances de la prison.
Et là vivent des hommes est un texte sombre. Le lecteur retiendra certes les lumineux moments de bonheur d’un enseignant qui réussit à ouvrir les détenus d’une maison d’arrêt à la lecture, au calcul, à l’écriture ou tout simplement à l’autre. Mais il constatera surtout le pessimisme profond d’un intervenant pour qui « la prison est bien le pire endroit que l’on puisse imaginer pour envisager une quelconque réinsertion ».
Patrick Leterrier, professeur des écoles tout frais émoulu de l’IUFM, a choisi d’enseigner à la maison d’arrêt de Cherbourg. Une seule classe pour tous les niveaux, de l’illettré (20% des détenus) au diplômé du supérieur (plus rare). Son « public » est constitué surtout des jeunes destructurés qui n’ont connu de l’école que les difficultés et la rébellion.
Seuls les détenus volontaires viennent en salle de classe. Quelques uns sont motivés par le désir d’apprendre, tel ce manouche qui souhaite enfin savoir lire et écrire. Mais la plupart ont une motivation plus basique : sortir de la cellule, s’extraire de l’enfermement, rencontrer un intervenant extérieur, échanger, parler, discuter.
Car Et là vivent des hommes est tout autant le récit d’un pédagogue et d’un formateur qu’un témoignage édifiant sur la condition carcérale dans la maison d’arrêt de Cherbourg. Évoquer ces élèves, leurs appréhensions, leurs réactions, leurs préoccupations, c’est évoquer les conditions de vie dégradantes qui sont les leurs et qui rendent vaines tout projet pédagogique un peu construit et durable.
Comment se lever tôt pour aller en classe quand on n’a pas pu dormir de la nuit parce que la télévision est restée allumée ? La vie en prison est à l’inverse de la vie en société : on préfère vivre la nuit et se lever tard, les jours se suivent et se ressemblent dans l’oisiveté et la déresponsabilisation.
Souvent alcooliques et/ou toxicomanes lorsqu’ils sont incarcérés, les détenus ont les plus grandes difficultés à se concentrer. L’enseignant tente au moins de renouer avec un désir d’apprendre et de s’ouvrir sur l’autre. Mais il est seul et doit gérer des situations qui relèveraient davantage de la psychiatrie. Pas de projet professionnel, les ambitions pédagogiques sont réduites au minimum, sans que l’administration, qui incite peu les détenus à aller en classe, constate l’auteur, s’en préoccupe vraiment.
La conclusion est logiquement sévère : « j’ai acquis la conviction que ces conditions de détention sont indignes du respect que l’on doit à tout être humain, qu’elles sont génératrices de conflits, de haine, de violence et vont à l’encontre de ce qu’il conviendrait de faire, à savoir tenter de rendre des individus plus sociables. »
– Une critique sur le site « nonfiction.fr » par Camille Putois
– Un passage à l’antenne de France-Inter le 11 février 2008
– Un passage à l’antenne de Radio-Vatican, émission « Vox populi »
Littérature
Troisième élément de la collection « La BOITE A MYSTERE »
Dans l’archipel de Chausey au large de Granville, une jeune femme meurt sur la lande de la Grande Ile, puis la mer dépose un second cadavre au pied du rocher dit « l’éléphant »…
Un bateau a disparu du Sund au petit matin…
Le SRPJ de Rouen, représenté par la jeune et jolie Clara Mandoni, dirige l’enquête, qui va de Granville à Paris, à travers les réseaux qui font leur profit de la détresse humaine, la conduire vers le doute : comment être sûre que le meurtrier qu’elle arrête est le vrai coupable ?
Littérature - Ouvrage collectif
Michel LEBONNOIS
Ma derniére publication « TABOU » est un ouvrage collectif, issu d’un travail réalisé en 1996-97 par l’équipe de la Maison d’Enfants que je dirigeais alors. Le sujet, « à propos de la sexualité dans le développement psycho-social de l’enfant vivant en Institution » est intemporel.
Cette question de l’éveil d’un enfant à lui-même en tant qu’Etre sexué se pose en permanence à tous les parents. Notre question initiale dans cet Essai a porté sur la légitimité de l’éducateur à intervenir en ce domaine intimement familial auprès d’enfants dont la famille fait temporairement défaut.
Littérature
Hervé Constantin
Après nous avoir fait découvrir le monde de la santé avec l’Instrumentiste, Hervé Constantin nous propose un aperçu de la « nébuleuse » ONG, ainsi qu’une certaine vision de l’Afrique et de la Marine nationale.
Celle d’un marin vagabond. Ses héros, Matthias et Sylvie, sont en outre confrontés à leurs propres difficultés de vie commune qui les fait passer du plus grand découragement au plus fol espoir. Du tsunami de décembre 2004 au cyclone « Nargis » qui a durement frappé la Birmanie en 2008, en passant par le golfe de Guinée, « Voyages en eaux troubles » est une fiction qui donne à réfléchir sur des problèmes et des situations bien réels pouvant toucher le plus grand nombre.
Après nous avoir fait découvrir le monde de la santé avec l’Instrumentiste, Hervé Constantin nous propose un aperçu de la « nébuleuse » ONG, ainsi qu’une certaine vision de l’Afrique et de la Marine nationale. Celle d’un marin vagabond.
Ses héros, Matthias et Sylvie, sont en outre confrontés à leurs propres
difficultés de vie commune qui les fait passer du plus grand découragement
au plus fol espoir.
Du tsunami de décembre 2004 au cyclone « Nargis » qui a durement frappé la Birmanie en 2008, en passant par le golfe de Guinée, Voyages en eaux troubles est une fiction qui donne à réfléchir sur des problèmes et des situations bien réels pouvant toucher le plus grand nombre.
Un voyage initiatique, autour du monde et au plus profond de soi, qui remet
chacun et chaque chose à son humble place.
ECRIVAIN - ANIMATEUR - CONFERENCIER
Animateur de l’emission Musiques en Partage
Chevalier de l’ordre des Arts et des Lettres
ANIMATEUR / CONFERENCIERPrix « Ville de TREVIERES » 2005
Grand Prix des Écrivains normands 1995
Membre de la Société des Auteurs de Normandie (SADN)
Membre de la Société Nationale académique de Cherbourg
Animateur de l’emission Musiques en Partage
Alençon
Avranches
Bagnoles-de-1’Orne
Brest
Caen
Cherbourg-Octeville
Deauville
Granville
Hyères
Lamalou-Les-Bains
Lyon
Marmande
Paris
Rouen
Les Sables d’Oleron
Saint-Lô
Sain-Nazaire
Toulon
Tours
Valognes
(Centres culturels, Universités Inter Ages, Festivals. RENCONTRES LITTERAIRES)
HORTENSE SCHNEIDER, la Grande Duchesse du Second Empire - Hérault 1995
LES MILLE ET UNE PARTITIONS de Frédéric LE REY -Paoland 1998
DOCTEUR PAYERNE, pionnier de l’aventure sous-marine - Romillat 2001
LA DIVA D’OFFENBACH - Romillat 2002
L’HERMITTE, Le capitaine Bravoure Romillat 2005
QUI SE SOUVIENT DE FONTANES ? Eurocibles 2008
La Diva d’Offenbach, Hortense Schneider (1833-1920), par Jean-Paul Bonami
Sous le titre de La Diva d’Offenbach, Hortense Schneider (1833-1920), Jean-Paul Bonami donne une nouvelle édition, enrichie, de son ouvrage Hortense Schneider, la grande-duchesse du Second Empire, publié en 1995.
Cette monographie relate la vie et la carrière de la cantatrice à partir de recherches d’archives et de documents inédits. Le lecteur se trouve immédiatement plongé dans l’atmosphère du Second Empire, au milieu d’une société frivole et avide d’opérettes, spectacles quasi magiques dont Jacques Offenbach (né à Cologne en 1819, mort à Paris en 1880) détient le secret Hortense est la fille de Jean-Georges Schneider, originaire de Hesse, tailleur à Strasbourg.
Celui-ci, d’abord militaire, s’était installé après la chute de l’Empire à Bordeaux où Hortense a grandi, appris à lire et à écrire à l’« école du pasteur ». Le coup de foudre se produis : lorsque ses parents l’emmènent au Grand Théâtre. Malgré leur résistance, la jeune musicienne est tentée par la carrière lyrique et, gagnée par l’ambition, elle se lance dans le monde artistique partisan.
Elle sera très appréciée par Jacques Offenbach, lequel veut réagir contre l’opéra comique traditionnel et forger un nouveau spectacle avec dialogues, couplets chantés, danses baignant dans la bonne humeur, l’amusement et la détente. Les succès d’Hortense sont fulgurants, depuis la petite esclave noire dans La Case de fonde Tom, Pierrot dans Les Pantins de Violette, Mimi dans Mimi Bamboche jusqu’au rôle titre dans La Belle Hélène qui lui assure une réussite éclatante et marque aussi l’« acte de naissance de la grande opérette en trois actes » (p. 89). Offenbach triomphe avec La Vie parisienne (1866) et La Grande Duchesse de Gerolstein (1867).
En 1867, date de l’Exposition, Hortense connaît la « consécration absolue », mais son ascension sera freinée par la guerre de 1870. Dans ce livre consacré à « l’Étoile du Second Empire » et à une cantatrice légendaire, dont le sort est lié à la vogue de l’opérette et à Offenbach, J.-P. Bonami apporte de nouveaux documents historiques et iconographiques accompagnés d’un intéressant lexique récapitulant les principales chanteuses étoiles qui ont interprété l’œuvre du compositeur, ainsi que d’utiles repères discographiques.
L’auteur retrace judicieusement l’itinéraire de la petite chanteuse bordelaise jusqu’à la diva d’Offenbach. Une étude qui se lit un peu comme un roman d’aventures (lyriques) et qui reflète les goûts et Histoire sociale et artistique du XIXe siècle.
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Littérature - Roman
Michel Lebonnois
Ce roman exploite ce que j’observais déjà dans l’introduction du « Secret d’Omonville » :
« J’aime les histoires ciselées de personnages dont la caractéristique essentielle est leur Humanité. Je sais que cela me vient de ma conviction professionnelle que l’âme la plus noire appartient malgré tout à un être humain , que le manichéisme est une bêtise car la vie ne se sépare pas linéairement entre le Bien et le Mal, qu’en chaque individu les deux se mélangent inextricablement, et que si je veux décrire un Homme je dois évoquer les deux faces qui le constituent. C’est ce que j’appelle la couleur de la toile que je tisse. »
La clef de l’énigme est dans cette dualité qui peut conduire à la folie…
Quand ils abordèrent le voilier, un petit huit mètres immatriculé à Cherbourg, un homme seul était assis à l’avant, jambes pendantes, l’air égaré. Il serrait contre lui un peignoir blanc dégoulinant. Il tendit un bras vers l’eau bleue : « Elle a coulé là… ».
Dans cette deuxième enquête qui commence par un suicide au large de la Hague, Clara Mandoni se trouve confrontée à la folie.
A son retour de vacances, passées dans sa famille en Corse, elle se voit adressés des morceaux de corps humain accompagnés de messages ne laissant aucun doute sur la volonté de l’expéditeur de s’en prendre à elle.
Une énigme en forme de puzzle, dont il lui faudra remettre en place toutes les pièces au risque de s’y perdre. Un défi à la hauteur de son talent, qu’elle relève avec succès avec l’aide attentive de son fidèle Lenoir.
Art Littéraire
Première « Rencontre et Dédicaces »
Le groupe "Auteurs en Cotentin" s’agrandit doucement. Une trentaine d’auteurs y sont maintenant accessibles.
L’accès est libre et gratuit.